EVOLUTION

Publié le 1 octobre 2021 à 15:00

J'ai décidé de faire évoluer mon entreprises en lui faisant suivre la courbe ascendante de mon évolution personnelle et spirituelle, de manière à garder un alignement entre ce que je suis réellement et ce que j'offre au monde.

 

. « Le sens de la vie est de trouver ses dons et le but de la vie est d'en faire don aux autres »....

Pablo PICASSO

 

Je n'ai jamais pensé que je serais architecte d'intérieur toute ma vie, mais je n'avais pas non plus envisagé la difficulté que cela représenterait de chercher à retirer l'étiquette du métier.

 

J'ai ouvert mon entreprise en 2009 et j'ai crée « l'agence ALEPH » il y a environ 9 ans. J'ai compris il y a seulement quelques jours, en discutant avec une nouvelle amie, que je ne devait plus me cacher derrière un logo et un nom d'entreprise, inappropriés par rapport à ce que je suis et à ce que je cherche à vivre.

 

Les étapes de mon évolution :

 

Pour que vous compreniez mon aspiration, il va tout de même falloir que je vous retrace mon parcours :

 

Je suis sortie à 23 ans de l’École Supérieure d'Architecture d'Intérieur de Lyon (ESAIL), qui est un diplôme de Niveau II reconnu par l'état, soit un bac +5.

Afin de préciser les choses, l'Architecte d'intérieur est bel et bien un architecte, le cursus et le nombre d'années d'études est quasiment le même qu'un architecte HMONP (la HMO en moins), la formation est validée par le CFAI (Conseil Français des Architectes d'Intérieur) qui a été crée par l'ordre des architectes il y a de nombreuses années. Cependant, l'architecte d'intérieur ne peut pas signer de permis de construire au delà de 150 m², mais il est formé pour faire de la réhabilitation lourde sur bâtiments existants.

Il ne faut pas confondre cette profession avec celle de designer d'espace ou de décorateur. C'est une notion que j'ai toujours beaucoup de mal à faire comprendre, aussi bien aux grand public, qu'aux professions gravitants autour de la mienne. Ce qui place les architectes d'intérieur diplômés comme moi dans un entre deux très inconfortable.

Après mon diplôme, j'ai poursuivi mon apprentissage en architecture bioclimatique, puis en géobiologie. C'est avec cette seconde formation que vint la plus grande métamorphose pour moi :

 

L'écoute de mon intuition, combinée à la pratique régulière de la sophrologie et de la géobiologie m'ont conduite à une ouverture spirituelle que je ne souhaite plus aujourd'hui cloisonner, mais au contraire mettre à profit dans tous les domaines.

 

Enfin, puisque je connaissais maintenant la géobiologie, il me semblait indispensable de parfaire ma formation avec l'apprentissage du Feng Shui traditionnel Chinois.

Je sors tout juste de 5 années d'assimilation de cette ouverture de conscience qui continue à grandir chaque jour.

 

Dans un futur proche, je projette de me former aux BaZi, « Quatre Piliers de la destinée » issus de la même tradition que le Feng Shui classique et la Médecine Traditionnelle Chinoise, ils décrivent les quatre composants qui fondent la destinée d’une personne. Ces quatre composants intrinsèques au moment de la naissance sont l’année, le mois, le jour, et l’heure. Des comparaisons entre le Ba Zi et l’astrologie occidentale ont pu être faites. Cependant, contrairement à l’astrologie, l’analyse du Ba Zi ne repose pas sur un alignement de corps célestes d’étoiles ou de planètes, mais sur un alignement de tranches temporelles le calendrier Chinois.

 

Vous aurez compris le challenge que je relève ici en faisant le grand écart (apparent), entre l'architecture et l'astrologie Chinoise.

 

Désormais, je souhaite avant tout accompagner les personnes dans un développement personnel et spirituel global, dans lequel pourrait être inclus (ou pas) la conception de leur habitat ou de leur espace de travail.

 

Je n'ai pas encore trouvé le nom de ce nouveau métier et peut-être que de lui trouver un nom le réduirait à quelque chose de cloisonnant alors que je souhaite au contraire ouvrir au maximum. J'aurai encore certainement du mal à faire mon « coming out » en société, quand on me demandera ce que je fais dans la vie. J'ai un ami qui répond toujours « je vis », c'est pas mal comme réponse...

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